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  • Ce blog reprend et archives les articles parus sur notre site web: http://www.pb-veille-consulting.com Ces articles sont issus d'une veille sur le domaine du vin (en particulier, vin et sulfites) et la "chimie verte".
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16 novembre 2012

Le CO2 à l'assaut de la chimie verte

LE CO2 SUPERCRITIQUE EST UN SOLVANT ORGANIQUE PROPRE.

EMPLOYÉ POUR L'EXTRACTION DE MOLÉCULES, LA DÉCONTAMINATION DANS L'INDUSTRIE NUCLEAIRE, IL S'AVÈRE TRÈS PERFORMANT.

DANS D'AUTRES PROCÉDÉS CHIMIQUES, COMME LA SYNTHÈSE DE PARTICULES. UNE TECHNOLOGIE PROMETTEUSE, QUI S'INSCRIT DANS LA CHIMIE VERTE.

Voir le document, ci-joint: Chimie_verte_CO2_supercritique_defis112_p4_7

Patrick Barbieri
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L'information au service de l'entreprise

http://www.pb-veille-consulting.com

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16 novembre 2012

Une approche verte et efficace :l'extraction sans solvant

Le chauffage direct par irradiation micro-ondes du matériel végétal permet de produire rapidement des extraits concentrés en molécules actives exempts de toute trace de solvant...

Patrick Barbieri

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16 novembre 2012

Ethanol cellulosique : Clariant inaugure une unité pilote

Le 30 juillet 2012

A.F.

Extrait : C'est un projet de plusieurs années qui vient d'aboutir. Le chimiste suisse Clariant a officiellement ouvert la plus grande unité pilote allemande de production d'éthanol cellulosique issu de déchets agricoles. Implantée à Straubing, en Bavière (dans le sud-est de l'Allemagne), elle produira plus de 1000 tonnes d'éthanol cellulosique à partir de 4 500 tonnes de paille de blé à l'aide d'une technologie développée par Clariant. Nommée Sunliquid, elle permet de transformer des déchets végétaux comme la paille de céréales en éthanol...

Voir: http://www.industrie.com/chimie/ethanol-cellulosique-clariant-inaugure-une-unite-pilote,44250

Patrick Barbieri
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16 novembre 2012

Acides gras : tensioactifs verts et propriétés moussantes originales

Anne-Laure FAMEAU, Arnaud SAINT-JALMES, Fabrice COUSIN, Jean-Paul DOULIEZ

Référence IN156
Date de publication : 10 août 2012

SOMMAIRE de l'article

Introduction

1 - Contexte
2 - Acides gras : molécules tensioactives naturelles
2.1 - Définition d'un tensioactif
2.2 - Agrégation des tensioactifs en solution
2.3 - Définition d'un acide gras
2.4 - Comment disperser les acides gras à longues chaînes dans l'eau
3 - Qu'est-ce qu'une mousse
3.1 - Définition d'une mousse
3.2 - Structure de la mousse
3.3 - Production de mousse
3.4 - Mécanismes de déstabilisation d'une mousse
3.5 - Vers une mousse idéale
4 - Mousse optimale et réactive à base d'acides gras
4.1 - Assemblage supramoléculaire particulier : tubes d'acides gras 12-hydroxystéarique
4.2 - Propriétés moussantes exceptionnelles des tubes d'acide gras 12-hydroxystéarique à température ambiante
4.3 - Influence de la température sur la stabilité de la mousse : les premières mousses thermosensibles
5 - Conclusion

INTRODUCTION

Résumé : Les tensioactifs sont largement utilisés du fait de leurs propriétés moussantes. Dans les mousses, ils se placent à l'interface entre l'eau et l'air et stabilisent les films d'eau autour des bulles d'air. Beaucoup de tensioactifs utilisés actuellement sont issus de dérivés pétroliers, leur remplacement par des biomolécules est un enjeu majeur pour la chimie verte. Par exemple, l'acide gras 12-hydroxystéarique issu de l'huile de ricin a des propriétés moussantes très avantageuses et originales...

Voir: http://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/procedes-chimie-bio-agro-th2/chimie-vegetale-vers-des-produits-biosources-42570210/acides-gras-tensioactifs-verts-et-proprietes-moussantes-originales-in156/

Patrick Barbieri
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30 septembre 2012

Les bouchons en liège : de l'arbre à la bouteille en passant par le goût de bouchon

Publié dans Reportages, Voyages par Anne le 25 août 2012

- Ahhh ce vin est bouchonné !- Ne trouvez-vous pas que ce vin a le goût de bouchon ?

Vous les avez entendues ces phrases n'est ce pas ? Ou peut être même les avez-vous prononcées. Seulement d'où vient ce goût ? Le savez-vous ? Je fais celle qui SAIT parce que j'ai appris plein de choses à ce sujet à L'institut Catalan du liège il y a quelques semaines lors d'un voyage de presse.

Le liège du bouchon vient d'un arbre, le chêne liège (Quercus Suber) qui pousse autour du bassin Méditerranéen. On trouve les plus grandes surfaces cultivées de liège au Portugal, en Espagne, un peu moins en Algérie et au Maroc et aussi, dans une moindre mesure en Italie, en France et en Tunisie. Voici à quoi il ressemble :

Chêne liège

Chêne liège – Vous pouvez voir la partie où a été extraite le liège (en bas du tronc, partie foncée)

J'ai été étonnée d'apprendre qu'il fallait environ 30 ans pour faire une extraction utilisable pour la production des bouchons. La récolte du liège (l'extraction) se fait pendant la période sèche. L'arbre devenant de fait plus vulnérable aux moisissures, il est préférable d'éviter la pluie.

Lors du premier prélèvement on obtiendra un liège appelé liège vierge utilisé pour par exemple l'isolation de nos maisons. Il n'est pas assez élastique pour produire des bouchons. Cette première extraction a lieu quand la circonférence de l'arbre est d'au moins 60cm et on enlève au maximum, attention pour les littéraires, une hauteur de 2 fois la circonférence. Ca va ? Pas besoin d'un schéma ?

La seconde extraction a lieu entre 9 et 14 ans plus tard (selon la zone géographique où pousse l'arbre). Il ne pourra toujours pas être utilisé pour réaliser
des bouchons de bouteilles de vins mais il pourra être utilisé pour la production de granulés servant pour les manches des bouchons de champagne.

Les manches de bouchons de Champagne ?

Oui, amis de l'internet mondial, un bouchon de champagne est composé d'un manche et de rondelles. Comment vous allez pouvoir épater belle maman, je n'y croispas. Merci qui ?

On suit la même règle entre la circonférence et la partie extraite. Le liège obtenu porte plusieurs noms : Amadilla, matchot ou encore liège mâle.

Ce n'est qu'avec la 3è extraction (encore entre 9 et 14 ans plus tard) que l'on pourra se servir du liège pour les fabrications en un seul tenant de bouchons.

Granulés et liège pour bouchons

Le liège obtenu à partir de ce prélèvement {et pour toutes les prélèvements suivants} s'appelle le liège de reproduction. Il est à ce moment très flexible car il contient beaucoup de subérine. Le chêne liège pourra subir 6 à 8 extraction fournissant la top qualité avant que l'équilibre subérine/lignine ne change, provoquant une rigidité plus grande du liège.

Et le goût de bouchon alors ?

On parle de gout de bouchon quand le vin a une déviation olfactive caractérisée par des notes liégeuses, poussiéreuses, de carton mouillé, de moisi ou de terre.

Plusieurs molécules sont responsables de ce faux-goût, mais la principale est le trichloroanisole ou TCA. Si je vous en parle c'est que le liège n'est pas le seul responsable de ce goût. Le TCA est exogène au vin, au bois ou aux bouchons de liège mais il peut se former dans ces produits. Pour que du trichlorophénol apparaisse, il faut qu'une substance contenant des phénols (produits naturels) entre en contact avec une substance chlorée, souvent issue des produits de nettoyage des barriques, de traitement du bois et autrefois, dans les produits de lavage des bouchons.

La contamination peut donc avoir pour origine les barriques dans lesquelles le vin a séjourné, des bouteilles contaminées par des palettes en bois ou simplement par l'air du chai surtout si du bois contenant des chlorophénols à été utilisé dans la construction de celui-ci. Il est alors possible de trouver des vins avec un « goût de bouchon » alors qu'ils sont encore conservés en cuve (source Geovitis). Incredibeule non ?

Vu le nombre de vins concernés, la filière a mis en place plein de tests qualités et c'est ainsi qu'un matin à 9h, je me suis retrouvée en compagnie de Griottes et Melle Banane à sentir des odeurs de moisissures, de beurre rance, de champignon, de terre en décomposition ... Bon appétit

Bref, la visite était tout à fait passionnante, c'est fou ce que l'on apprend grâce à un blog.

Institut Catalan du Liège
C/ Miquel Vincke i Meyer nº13, 17200 Palafrugell (Girona)
Espagne.

Voir: http://www.papillesetpupilles.fr/2012/08/les-bouchons-en-liege-de-larbre-a-la-bouteille-en-passant-par-le-gout-de-bouchon.html/

Patrick Barbieri
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30 septembre 2012

Vin- Normes en vigueur-Constitution et stabilité

30 septembre 2012

Vigne : rechercher des solutions alternatives aux phytosanitaires - Thouarcé

Le domaine des Grandes-Vignes ouvrait ses portes - enfin ses vignes - ce mercredi pour présenter, de visu, des alternatives aux phytosanitaires. Pilotée par l'ATV 49, association technique viticole (gérée par un conseil d'administration paritaire de viticulteurs désignés par la fédération viticole de l'Anjou et la chambre d'agriculture), cette journée s'inscrit dans le dispositif Delphy

« Dephy, a expliqué Guillaume Gastaldi, conseiller en protection phytosanitaire, signifie Démonstration, expérimentation et Production de références sur les systèmes économes en produits phytosanitaires. Dans ce cadre, les Grandes-Vignes fait partie d'un réseau de 12 exploitations viticoles dans l'anjou-saumur, engagées dans cette démarche. Dephy s'inscrit lui-même dans le plan ecophyto 2018 issu du Grenelle de l'environnement. Aujourd'hui, c'est l'axe 3 qui est l'objet de cette porte ouverte, à savoir innover et rechercher des solutions alternatives aux phytosanitaires. »

Après avoir rapidement expliqué le cheminement du domaine, qui est passé progressivement en viticulture bio, puis en biodynamie, Jean-François Vaillant a exposé leur façon de travailler la vigne sous trois axes : la création d'un microclimat défavorable à la maladie par ébourgeonnage, effeuillage, limitation des rognages, et cette année, essai d'enroulement des pointes comme pratiqué dans certains vignobles de Bourgogne.

Le deuxième axe présenté est celui du travail des sols, avec notamment l'utilisation de disques chausseurs, ou encore l'enherbement d'interrang pour favoriser une faune auxiliaire « grâce à quoi, nous n'avons, par exemple, quasiment pas d'araignée rouge », explique Jean-François Vaillant.

Enfin un dernier axe, celui de la protection de la vigne avec un dosage extrêmement réduit de cuivre et souffre (bouillie sulfo-calcique) et une utilisation de répulsifs naturels à base de prêle, d'absinthe, et autres plantes ou huiles essentielles. « Travailler ainsi suppose énormément d'observation de nos vignes. Et on sait et on peut expliquer ce qu'il y a, ou plutôt ce qu'il n'y a pas dans nos vins. Pour rien au monde on ne reviendrait en arrière.

L'alternative aux phytos est aussi une question de santé publique », dira Jean-François Vaillant en conclusion.

Une autre visite est prévue le jeudi 26 à Chaintres. Son objet : la réduction de l'utilisation des produits phytosanitaires.

Renseignements : guillaume.gastaldi@maine-et-loire.chambagri.fr

http://www.ouest-france.fr

Voir: http://www.vinbio.com/article.php?sid=504&mode=thread&order=0&thold=0

Patrick Barbieri
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30 septembre 2012

Une nouvelle réglementation européenne crée la catégorie « vin bio »

31 juil 2012 dans La Croix

À compter du 1er aout, la vinification sera aussi encadrée pour prétendre au label « vin bio ».

Jusqu'à présent, des règles existaient pour le « vin obtenu à partir de raisins issus de l'agriculture biologique ». Mais la vinification – le processus de transformation du raisin en vin – n'était pas couverte. C'est chose faite depuis février 2012, d'où la naissance du label « vin biologique », étiquetage possible à partir du 1er août.

Pour en bénéficier, les viticulteurs doivent se passer de certaines pratiques de vinification et limiter les produits ajoutés au vin. Surtout, les doses de sulfites (ou SO2) autorisées ont été réduites. Cet ingrédient, qui favorise les maux de tête, est un conservateur et un antiseptique. La plupart des viticulteurs le jugent indispensable. Sa teneur maximale est fixée à 100 mg par litre pour le rouge (contre 150 mg pour le vin traditionnel) et à 150 mg par
litre pour le rosé ou le blanc (200 mg pour le traditionnel).

Le nouveau label facilitera « une meilleure reconnaissance de la part des consommateurs »,estime la Commission européenne. Et il renforce la position des vins bio européens face à la concurrence étrangère.

Pour Henry Dayon, œnologue consultant, ces règles permettent aussi de mettre sur un pied d'égalité les vins bio européens, qui s'appelaient tous « vin obtenu à partir de raisins issus de l'agriculture biologique », tout en ayant des pratiques de vinification plus ou moins biologiques.

Quelles conséquences pour les viticulteurs bio français ?

« Le nouveau règlement ne va pas changer grand-chose pour les producteurs français, la majorité a déjà volontairement diminué les teneurs en sulfites en deçà de ces taux »,analyse Henry Dayon, qui ajoute : « Mais il va obliger certains producteurs européens à rattraper leur retard, notamment les Allemands et les Autrichiens, qui utilisent plus de sulfites. »

C'est d'ailleurs parce que l'harmonisation était difficile que les négociations européennes ont duré plus de dix ans. Mais, à force de consensus, certains estiment que la nouvelle réglementation n'est pas assez restrictive. « Moi qui arrive à produire du vin de qualité en n'ajoutant rien d'autre que du SO2 à très faible dose, ça me pose un problème d'éthique quand la bio est tirée vers le bas », s'agace un viticulteur bio qui souhaite rester anonyme.

« Pour le consommateur, c'est plus de transparence et de garanties »,rétorque Élisabeth Mercier, directrice de l'agence de promotion de l'agriculture bio. «C'est une première étape »,estime Alain Réaut, président de la Fédération nationale interprofessionnelle des vins de l'agriculture biologique (Fnivab) : « On ne pouvait pas continuer à utiliser du raisin bio tout en permettant que les ingrédients ajoutés lors de la vinification ne soient pas contrôlés. »

Pour ce dernier, les limites sont posées, mais la révision de la législation européenne, prévue en 2015, devra amener des avancées.

Voir: http://www.actualites-des-journaux.com/lacroix/une-nouvelle-reglementation-europeenne-cree-la-categorie-vin-bio/

Patrick Barbieri
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30 septembre 2012

La viticulture biologique définie en 6 principes par l'OIV

Mercredi 01 août 2012-Réglementation

L'Organisation Internationale de la Vigne et du Vin (OIV) tenait sa trente cinquième Assemblée Générale à Izmir (Turquie) à la fin juin 2012. Y ont notamment été définies les procédures de désalcoolisation des vins (pour en savoir plus, cliquer ici), ainsi que les principes de la vitiviniculture biologique.

L'Assemblée Générale a en effet adopté la résolution OIV-ECO 460-2012, qui servira de base à la définition des lignes directrices de la production biologique vitivinicole. Selon la résolution, « la vitiviniculture biologique est un système de production vitivinicole qui :

- tend à préserver les écosystèmes et la fertilité des sols sur le long terme ;

- tend à augmenter la biodiversité et la protection des ressources naturelles ;

- tend à promouvoir l'utilisation de processus et de cycles écologiques ;

- tend à réduire ou éliminer les interventions extérieures et les pratiques viticoles qui prévoient l'utilisation de produits chimiques de synthèse ;

- tend à utiliser des produits et des processus biologiques dans les processus de transformation et de production, en essayant d'éviter les techniques produisant un impact négatif considérable sur l'environnement ;

- exclue l'utilisation d'organismes génétiquement modifiés et les intrants issus d'Organismes Génétiquement Modifiés (OGM). »

Avec ces définitions, l'organisation intergouvernementale se conforme à son Plan Stratégique pour 2012-2014 qui a pour objectif le développement prioritaire de la vitiviniculture durable, de la production intégrée et la production biologique. L'OIV note cependant que « les définitions de la production biologique et de l'agriculture biologique ont déjà été établies au niveau régional, national et international ».

Voir: http://www.vitisphere.com/breve-60162-Reglementation-Viticulture-La-viticulture-biologique-definie-en-6-principes-par-lOIV.html

Patrick Barbieri
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30 septembre 2012

L'Union européenne vendangera ses premiers vins bios cette année

L'Union européenne (UE) va pouvoir vendanger ses premiers «vins bios» cette année, avec la mise en place d'un label et de nouvelles règles harmonisées censées apporter plus de transparence et tenir tête aux vins bios du Nouveau Monde, a-t-on appris auprès de la Commission.

Des règles existent déjà dans l'UE pour le «vin obtenu à partir de raisins issus de l'agriculture biologique. Mais elles ne couvrent pas les pratiques oenologiques, c'est-à-dire l'ensemble du processus d'élaboration, du raisin jusqu'au vin», précise la Commission dans un communiqué.

Le nouveau label s'appliquera à partir du millésime 2012, que les viticulteurs vont commencer à vendanger cet été.

Pour bénéficier du label bio, les vins devront désormais respecter certaines pratiques oenologiques. L'acide sorbique et la désulfuration ne seront pas autorisés, et le niveau des sulfites devra être très bas.

L'UE veut s'assurer que les consommateurs puissent être certains que tout «vin biologique» aura été produit sur la base de règles de production plus strictes.

Il s'agit aussi de renforcer la position des vins biologiques européens au niveau international, étant donné que de nombreux autres pays producteurs de vin (États-Unis, Chili, Australie, Afrique du Sud) ont déjà mis en place des normes applicables aux vins biologiques.

Les vins bios européens devront notamment avoir «une teneur maximale en sulfites fixée à 100 mg par litre pour le vin rouge (150 mg/l pour le vin non bio) et 150 mg/l pour le vin blanc/rosé (contre 200 mg/l), avec un différentiel de 30 mg/l lorsque la teneur en sucre résiduel est supérieure à 2 g par litre», précise la Commission européenne.

Ils devront évidemment être élaborés à partir de raisins produits dans des conditions biologiques, avec des règles très strictes de recours aux pesticides notamment.

Voir: http://fr.canoe.ca/artdevivre/cuisine/article1/2012/07/25/20026951-afp.html

Patrick Barbieri
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